Han Kyung-Mi a commencé à filmer car elle voulait parler de Na Hye Sok, mais elle a depuis réalisé de nombreux autres courts métrages, dont certains nous ont appris beaucoup sur la situation des femmes en Corée du Sud.
0
Han Kyung-Mi a commencé à filmer car elle voulait parler de Na Hye Sok, mais elle a depuis réalisé de nombreux autres courts métrages, dont certains nous ont appris beaucoup sur la situation des femmes en Corée du Sud.
Son court-métrage Sans Prénom évoque la situation des femmes et notamment le fait qu’elles existent principalement à travers les hommes de leur vie. Elles sont d’abord fille, puis femme, puis mère.
Dans Canards Mandarins, nous avons pu en apprendre plus sur la situation des couples mixtes, un sujet que nous avons peu eu l’occasion d’aborder durant notre recherche et qui, pourtant, est très révélateur de la situation des femmes en Corée.